Attention les jeunes, le Val est en place

Valentin est né dans le plus beau quartier de New York... Manhattan et autant dire avec une cuillère d’argent dans la bouche. Les Dulac, vaste famille d'origine Française (et militaire), possédant une grande réputation et pas mal d'action fleurissante en bourse. Il a grandi dans une immense demeure sur plusieurs étages privatifs perché sur l'une des plus belles tours qui domine Central Parc, mais où la chaleur humaine n’existait pas du tout. Mais qu’importe… Si enfant il a quelque peu cherché l’attention de ses parents, lassé de ses nourrisses et domestiques. Il a fini par s’y faire et s’en accommoder. Peu à peu une nature plus indépendante et froide c’est instauré en lui.

L’absence d’affection, était compensé par l'abondance matérielle, ce qui a été peut-être le déclencheur de cette soif insatiable de pouvoir, d’influence, de propriété. Toujours plus… voilà ce qui le définit parfaitement. Très vite et bien avant d'intégrer les meilleurs institutions, le jeune Valentin se comportait un peu comme le petit prince de la demeure. Il méprisait son grand frère et sa sœur, pour leurs statuts hiérarchiques d’héritier, car il stipulait que cela lui revenait. Dès l'adolescence, Valentin a découvert l’art de la manipulation de son petit monde.
Il s’est vite rendu compte qu’il possédait de nombreux atouts et surtout un certain talent dans la tromperie, sa belle gueule l’avantageant considérablement dans ce domaine. Et quand il est entré à l'université… son terrain de jeu c’est considérablement agrandi. De ses prédispositions à la ruse et de par son ambition hors norme, il fut sans surprise de le voir rejoindre les services secrets. Et grâce son bagou et son fort charisme, il réussit à se démarquer.

Mais à part ce florilège de défaut, Valentin fut un étudiant sérieux et assidu. Son ambition en fut évidemment le moteur. Devenir fort, puissant c’était son leitmotiv de chaque jour et cela durant ses années d'études. Il s'est intéressé à l'armée, au forces militaires, qu'il a intégré à l'age de 21 ans. Allant même sur le terrain en pleine guerre du Vietnam. D'ailleurs il a pu apprendre pleins de choses, de nombreuses techniques de tortures physiques comme psychologiques. Il c'est même démarquer dans ce domaine, décrochant finger in the nose ses diplômes et même le grade de colonel.De ses bonnes appréciations et distinctions, il intégra alors la CIA.

Comme tous les êtres humains, Valentin est complexe et souvent contradictoire, à la fois dans sa personnalité et dans ses attitudes. Il apparaît comme sans émotion et replié sur lui-même, cérébrale jusqu'à l'insensibilité. Il place, au-dessus de tout, la précision et la concentration de la pensée. Ses domestiques ou proches font constamment référence à son agitation et à son impatience, à sa nervosité et à son excitation, à son naturel curieux et avide, à l'importance qu'il porte à son orgueil, à sa réputation, au respect de lui-même et à un certain égoïsme.
Il ne se range pas parmi les gens qui placent la modestie au nombre des vertus. Pour lui, les choses sont ce qu'elles sont, et se sous-estimer est, tout autant que se surestimer, une altération de la réalité.

Valentin est égotiste et didactique et on dit de lui qu'il est aussi sensible à la flatterie, quand il s'agit de son art, que n'importe quelle femme quand il s'agit de sa beauté. Une de ses plus grandes faiblesses, c'est qu'il supporte mal les intelligences moins vives que la sienne, et il peut être franchement méprisant pour ceux qui lui sont inférieurs mentalement, et pour ceux avec qui il n'est pas d'accord. Sa nature froide, qui ne se préoccupe pas de gloriole aux yeux du vulgaire, est touchée par les louanges d'un pair. Il prête peu d'attention à sa sécurité quand son esprit est absorbé par un problème politique (bien qu'il affirme qu'il est stupide, plus que courageux, de refuser de croire au danger quand il vous menace de près) et il est très contrarié par tout ce qui vient distraire son attention.

Valentin se décrit lui-même comme n'ayant jamais été un individu très sociable. Il déclare ne pas avoir d'amis et n'encourage pas les visiteurs. S’il joue parfois les charmeurs pour obtenir des faveurs, en réalité il montre une réticence à nouer des liens d'amitiés profond et en général préfère vivre dans la solitude et l'isolement. Il fait preuve d'insouciance et d'une veine mi-cynique, mi-humoristique. Il est remarquable par sa courtoisie et il est passé maître dans l'art de mettre les plus humbles à leur aise et possède presque un pouvoir hypnotique qui lui permet d'apaiser quand il le veut. Il a ses habitudes, des habitudes strictes et rigoureuses. Cependant c'est aussi un des hommes les moins ordonnés qui aurait jeté hors de ses gonds n'importe quel compagnon d'existence. Mais sans son désordre habituel, il ne serait pas à l'aise.

Côté physique Valentin possède un charme indéniable :
il est grand, musclé, avec un look assez décontracte mais relativement moderne et chic. Il mesure 1,78 m, mais il paraît encore plus impressionnant à cause de sa carrure relativement athlétique et virile. Il a des yeux clairs bleu gris perçant renforçant cette impression de dureté, et particulièrement vifs et perçants, lui donnant un regard introspectif quand il réfléchit. Son front est large. Ses cheveux sont bruns coupé courts, ses sourcils sombres et épais. Un nez bien dessiné et viril. Ses lèvres sont minces et fermes. Il possède une voix à l’intonation douce, attrayante mais aussi profonde, et qui porte loin si nécessaire. Il a une haute estime de lui-même. C’est un homme qui peut être fort prétentieux et orgueilleux.  Il peut tout autant se comporter comme un bourreau de travail que faire preuve de fainéantise. Il est également décrit comme lunatique, tantôt bavard, tantôt s’enfermant dans un mutisme complet.

En ce qui concerne Le docteur Brenner, Hawkins, son labo et le reste… Apprenez que Valentin est avant tout est un grand opportuniste. S’il semble être du côté de l’un, c’est pour servir ses propres intérêts, juste pour son ascension personnelle. Devenir un toutou au service de sombre institution, très peu pour lui. Même s’il sait jouer de la courbette et des bons mots pour flatter son monde et les scientifiques maboules avec, jamais non au grand jamais il ne se laissera passer un collier et une laisse au tour du cou. Le bondage très peu pour lui.
De cette confusion avec l'accident du labo et la fuite des cobayes, tout ce qu’il en espère c’est de pouvoir en tirer parti, de s’approprier un peu plus de pouvoir. Et pour ça… il est prêt à tout, d'accepter, comme ce post de proviseur afin de surveiller pour eux ce trou perdu, mais aussi de faire la chasse au "mutants" comme dans Xmen. En tout cas vous êtes prévenu, lui faire confiance c’est à vos risque et péril…. Bon après il peut avoir quelques bonnes phases mais ça… cela dépendra du jeu et de l’évolution de ce perso.